#VendrediLecture |📗𝙐𝙣𝙚 𝙡𝙤𝙣𝙜𝙪𝙚 𝙧𝙤𝙪𝙩𝙚 𝙥𝙤𝙪𝙧 𝙢’𝙪𝙣𝙞𝙧 𝙖𝙪 𝙘𝙝𝙖𝙣𝙩 𝙛𝙧𝙖𝙣𝙘̧𝙖𝙞𝙨, François Cheng, de l'Académie française.
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— Institut de France (@InstitutFrance) October 14, 2022
« C’est à l’âge de quinze ans que le chant s’est éveillé en moi. Je m’ouvrais à la poésie et entrais, comme par effraction, dans la voie de la création… » Depuis son premier essai sur l’eau et la soif – unique témoin de son adolescence chinoise qu’il a emporté en France et dont il nous livre aujourd’hui la traduction – en passant par ses rencontres avec Gide, Vercors, Lacan, Michaux, Emmanuel, Bonnefoy et tant d’autres, François Cheng nous fait partager la longue route qui l’a conduit à devenir, lui l’exilé qui ne savait dire ni « bonjour » ni « merci » lorsqu’il est arrivé à Paris, un poète français.
Le sort de la bougie est de brûler.
Quand monte l'ultime volute de fumée,
elle lance une invite en guise d'adieu:
"entre deux feux sois celui qui éclaire ! "
Nous avons bu tant de rosées
En échange de notre sang
Que la terre cent fois brûlée
Nous sait bon gré d'être vivants
Dans un poème il y a une peinture, dans une peinture un poème
https://fr.wikipedia.org/wiki/François_Cheng
https://dictionary.writtenchinese.com/worddetail/cheng/2632/1/2
https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-03225910/document
https://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/55510
https://fls.sysu.edu.cn/lecturefrc/docs/20180416200212418642.pdf
https://www.unilim.fr/actes-semiotiques/5165&file=1
https://www.art-de-longue-vie.net/wp-content/uploads/2011/11/Mémoire-Corinne1.pdf
A l'occasion de la publication de "Enfin le royaume", son dernier recueil de quatrains, le poète François Cheng revient sur la conception taoïste du langage et de la poésie. #Poésie #Taoïsme
Pour écouter en intégralité : https://t.co/vyAOQolk4g pic.twitter.com/QpqxdLJ6hM— France Culture (@franceculture) March 8, 2018
https://www.youtube.com/watch?v=jFaceKdShA8