Archives mensuelles : novembre 2022

François Cheng

« C’est à l’âge de quinze ans que le chant s’est éveillé en moi. Je m’ouvrais à la poésie et entrais, comme par effraction, dans la voie de la création… » Depuis son premier essai sur l’eau et la soif – unique témoin de son adolescence chinoise qu’il a emporté en France et dont il nous livre aujourd’hui la traduction – en passant par ses rencontres avec Gide, Vercors, Lacan, Michaux, Emmanuel, Bonnefoy et tant d’autres, François Cheng nous fait partager la longue route qui l’a conduit à devenir, lui l’exilé qui ne savait dire ni « bonjour » ni « merci » lorsqu’il est arrivé à Paris, un poète français.


Le sort de la bougie est de brûler.
Quand monte l'ultime volute de fumée,
elle lance une invite en guise d'adieu:
"entre deux feux sois celui qui éclaire ! "


Nous avons bu tant de rosées
En échange de notre sang
Que la terre cent fois brûlée
Nous sait bon gré d'être vivants

Dans un poème il y a une peinture, dans une peinture un poème

https://fr.wikipedia.org/wiki/François_Cheng

https://dictionary.writtenchinese.com/worddetail/cheng/2632/1/2

https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-03225910/document

https://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/55510

https://fls.sysu.edu.cn/lecturefrc/docs/20180416200212418642.pdf

https://www.unilim.fr/actes-semiotiques/5165&file=1

https://www.art-de-longue-vie.net/wp-content/uploads/2011/11/Mémoire-Corinne1.pdf

https://www.youtube.com/watch?v=jFaceKdShA8