— ] Rene Paul Mages [ No Software Patents (@RenePaulMages) November 7, 2016
Ami lecteur il faut lire seulement une centaine de pages du Président Bruno Lamour ( du collectif Roosevelt) pour prendre toute la mesure de l’urgence climatique (il vous en coûtera 6 euros aux Editions de l’Atelier) :
Pour bien différencier ces deux concepts : libre dans le champ logiciel et libre dans le champ monétaire il est sans doute bon (au préalable) de lire cet article :
Quoi de plus urgent sur le plan politique que de mettre à plat tous les problèmes institutionnels dans lesquels la France se trouve de plus en plus confrontée . En 2016 la constitution de la cinquième république qui a été adoptée par referendum le 28 septembre 1958 aura 58 ans. Il est grand temps d’en changer.
A l’écoute d’une grande majorité de citoyens qui veulent tourner la page, un collectif totalement indépendant des partis politiques vient de se mettre en place avec pour objectif principal une profonde révision constitutionnelle en 2017-2018 :
Mener des actions à travers des conférences des colloques, de la formation pour contribuer à la promotion de la démocratie et de la représentation citoyenne, au développement social et culturel en France et en Europe
Contribuer à la promotion de la démocratie et au développement social et culturel en France et en Europe
Contribuer à la promotion de la démocratie en France et en Europe
Elinor Ostrom (1933-2012) fait partie de ces très grandes dames qui consacrent l’essentiel de leur vie à une grande cause – les biens communs – . Son premier livre paru en 1990 ( Governing the Commons: The Evolution of Institutions for Collective Action) a été traduit en français en 2010 :
Vendana Shiva comme Naomi Klein fait partie de ces très grandes dames qui deploient sans compter toutes leurs énergies et leurs compétences à des causes essentielles pour l’avenir du monde. Qu’elles en soient remerciées du fond du coeur.
La canadienne Naomi Klein est de tous les combats essentiels pour la survie de l’humanité :
http://en.wikipedia.org/wiki/Naomi_Klein
Elle est membre du « Board of directors » de 350.org
http://350.org/about/board/
Naomi est l’auteur de quatre best sellers internationaux traduits dans de nombreuses langues:
Tout peut changer – Capitalisme et changement climatique (livre publié en 2015) :
http://www.actes-sud.fr/catalogue/societe/tout-peut-changer
La stratégie du choc (livre publié en 2008) :
http://www.actes-sud.fr/catalogue/economie/la-strategie-du-choc
http://www.pour-la-savoie.com/wp-content/uploads/2010/11/strat%C3%A9gie-du-choc-naomi-klein.pdf
Fences and Windows: Dispatches from the Front Lines of the Globalization Debate (livre publié en 2002) :
https://en.wikipedia.org/wiki/Fences_and_Windows
http://us.macmillan.com/fencesandwindows
No logo (publié en 1999) :
http://www.naomiklein.org/no-logo/publication-info
https://en.wikipedia.org/wiki/No_Logo
Les liens qui suivent permettent de suivre de près tous les champs de son activisme (qui est remarquablement intense et efficace) :
Depuis la publication du rapport Meadows (publié en 1972 par le Club de Rome) il y a eu une lente prise de conscience de la gravité potentielle (mais bien réelle) du changement climatique et des mesures d’urgence à prendre pour limiter au mieux la casse et si possible retrouver un modèle de développement respectueux de l’environnement. Les liens qui suivent devraient permettre à tout un chacun de non seulement comprendre la hauteur des enjeux mais aussi de participer aux luttes écologiques pour mettre un terme au réchauffement planétaire:
La question du partage du travail – et donc celle de la réduction du temps de travail – jouera sans aucun doute un rôle crucial dans les changements systémiques auxquels notre société se trouve confrontée puisque le système néo-libéral nous conduit droit dans le mur. Il nous faut réorganiser le travail . Une nécessité déjà pointée dans le rapport Boissonnat de 1995 :
« Notre pays est globalement plus productif et plus riche qu’il ne l’a jamais été ; entre 1970 et 1990, le revenu réel par tête a augmenté de 53 %. Ce n’est donc pas l’insuffisance de la production des richesses qui est la cause première des difficultés aujourd’hui: chômage élevé, précarité, inégalités, déficits publics. Il faut chercher l’explication davantage dans l’articulation entre les mécanismes économiques et le fonctionnement social, et dans les modes de décision politique. C’est notre incapacité collective à penser et à organiser autrement le travail qu’il faut mettre en cause. »
Rien de très étonnant à tout cela si l’on prend en compte la révolution de la productivité et en particulier la place qu’occupent désormais les robots et les ordinateurs dans un très grand nombre de champs de la production, de la distribution, des services , du monde médical, de la logistique, de l’agriculture, des transports, de la ville intelligente, de la vie quotidienne :
"La cause fondamentale du chômage : les gains de productivité. On produit plus de richesses mais on ne partage pas le travail" @larrouturou
— Tout cramer, dans le respect des institutions (@Piedminu) September 25, 2015
En France l’aveuglement de la quasi-totalité des néo-libéraux nous a conduit à la situation actuelle. Une situation hélas compréhensible si l’on veut bien prendre en compte le rôle des économistes orthodoxes et leur haut degré d’influence sur une majorité de nos hommes politiques (à droite, au centre et même à gauche mais jamais dans les mouvements écologiques ou encore à Nouvelle Donne) :